Introduction

Tout voyageur est planétairement surnaturel. Ainsi sera perçu un homme chez un extraterrestre moins avancé, de même qu'un nomade chez un prédateur terrestre impérialiste et furtif qui extermine par tous les moyens (drones, OTAN, OMC, FMI...) tous ceux qui ne s'alignent pas : la faune, la flore, les pauvres, les communistes, Le Che, Sadam, Ben Laden, Kadhafi, Milosevic, ... Un voyageur infiniment plus fort ne permettra pas la survie d'une espèce humaine qui le menace potentiellement en s'en prenant à la vie. Il n'est pas scientifique ni prudent d'écarter la loi d'un plus fort potentiellement furtif, comme l'homme l'est déjà envers les plus faibles : la sagesse commande de se protéger contre une Apocalypse imparable en allant au-devant des souhaits de potentiels voyageurs invincibles, comme tout état qui se protège dans une alliance déjà existante ou à créer (Europe, ONU, OTAN...). Le "surnaturel" devient alors un moyen naturel de transmission de messages forts* de l'amont vers l'aval, sans des échanges directs conflictuels et mutuellement autodestructeurs. Déjà supervisée ou non par des aînées plus avancées dans leur transcendance, toute génération cosmique devenue scientifiquement irrattrapable par les suivantes interviendra ainsi à son niveau dans l'évolution en aval : le modèle gigogne d'un apartheid cosmique rationnel imposé par le plus fort devenu aussi le plus sage. L'homme attendra-t-il l'Apocalypse pour y adhérer ? Une science enfin reconvertie à la paix * anoblira l'espèce pour la préparer à s'intégrer pour son salut dans une chaîne furtive de bienveillance en communion cosmique d'amont en aval !

mardi 6 septembre 2011

Un Silence Cosmique Non Négociable


Ariste :Un homme-enfant rêve de remplacer le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici


Le Cancer Capitaliste : Vers une Transcendance Oligarchique dans la Malveillance

par Ariste (Sur le vaisseau de l'enfer terrestre qu'il entretient aux dépens de l'espèce et de l'écosystème, le capitalisme a aménagé un purgatoire de plus en plus invivable sur les ponts inférieurs et un semblant de paradis sur le pont supérieur. Mais ces espaces précaires de répit pour les uns ne sont acquis qu'au prix de tortures toujours plus intolérables infligées aux autres repoussés en fond de cale.)


L'Idéologie Dominante présente comme non fondée et donc ridicule toute théorie de Complot Oligarchique. Devant les Tours de Manhantan ou de pareils drames, le citoyen est effectivement comme devant un tour de magie. Il sait par contre bien que les magiciens qui mettent en scène l'actualité sont de loin les mieux placés pour le tromper puisqu'ils peuvent mondialement rendre leurs truquages plus crédibles que la réalité (armes de destruction massive de Sadam, et autres tours...). Dans l'hypothèse officiellement avancée où il n'y a jamais eu de complot oligarchique le 11 Septembre, la guerre d'Irak déclenchée en vertu de l'existence d'armes de destruction massive finalement inexistantes a quant à elle toutes les apparences d'un vrai complot : une bagatelle de centaines de milliers, sinon plus d'un million de morts ou encore davantage !    

Mais le cancer de l'espèce est bien plus grave qu'un simple complot que l'on pourrait facilement déjouer. Ses métastases mortelles partent d'un homme qui a fait jusqu'ici le mauvais choix (voir ici)  : un pari cosmique sournois le préparant à imposer universellement sa violence ! Sa décadence se poursuivra donc jusqu'à son suicide tant qu'il n'assumera pas ses responsabilités de gestionnaire de son écosystème. Cette incohérence ignorée ou nourrie à dessein dès le départ mène en effet à un engrenage d'autres incohérences de plus en plus critiques apportées pour tenter à chaque fois de cacher ou de justifier les premières. Comme un premier mensonge entraînant d'autres plus gros pour le soutenir, la violence du prédateur mobilisera finalement des murs de feu et des torrents de propagande pour s'imposer, ce qui est déjà le cas. Le Mal est infiniment plus pervers qu'une théorie de complot traditionnel ou une prophétie de malheur taxées de ridicule pour mieux s'en dédouaner : comme dans toute machine, la pièce cosmique détériorée causera une dégradation accentuée de toute la mécanique si elle n'est pas changée à temps. L'homme devra inévitablement la réparer ou disparaître avant de causer universellement trop de dégâts. Tout voyageur déjà existant lui imposerait d'aileurs furtivement ce choix avant tout contact.       


Né naturellement ou non, un "désordre global" artificiellement entretenu et sans cesse accru par une oligarchie suprême dévore ainsi l'écosystème et l'espèce. Il bénéficie des plus hautes complicités, et pour cause : les plus grands prédateurs de l'espèce ne seraient plus autrement déclarés intouchables et encouragés à perpétuer leur malveillance.


A l'image du réchauffement planétaire, l'Idéologie Dominante préfère contester en s'en moquant l'origine ou l'existence même du Mal au lieu de l'affronter. Mais le hasard lui-même peut engendrer une nécessité qui n'est finalement qu'une conséquence, obéissant à une loi d'inéluctabilité dite ironiquement "loi de Murphy" qui veut qu'une tartine beurrée tombera généralement mal. Qu'on le désigne sous le nom de "désordre global" ou de "complot", un Mal (sur)naturel ou non si bien entretenu se développera en cancer.

Une oligarchie suprême de plus en plus riche et réduite en pourcentage (Wall Street/CAC40 & Co...) impose consciemment (Bush ?) ou non (Obama ?) sa loi à des Etats-marionnettes. Avec son attirail traditionnel de religion (paradis, purgatoire, enfer...), une véritable Inquisition soumet planétairement les infidèles à la foi capitaliste par un commerce sournois et des moyens de terreur n'ayant rien à envier à ceux de son aïeule catholique : guerre de robots et embargo (Vietnam, Irak, Lybie...), délocalisations avec leurs lots de précarité, de chômage et de faim; spéculation avec commerce imposé et élimination des plus faibles... La "démocratie" est son église où des citoyens-eunuques privés de leurs moyens d'action se voient confier la gestion d'une décadence déjà programmée. Les prêtres lobbyistes du harem capitaliste propagent en toute occasion les métastases du Mal par l'argent de la corruption en guise d'hostie. Intervenant en amont et en aval des vrais choix (l'avenir, l'écologie; la paix, l'éducation, le bien-être...), ils jouent en permanence l'intérêt oligarchique contre l'intérêt collectif, et c'est toujours l'oligarchie qui gagne et le Cancer de l'espèce qui s'aggrave par la nationalisation des pertes et la privatisation des profits. Ils ont plus d'une fois failli déclencher le feu nucléaire après les crimes pourtant impardonnables d'Hiroshima et de Nagasaki, et des guerres sont lancées (Vietnam, Irak, Lybie, Yougoslavie...) pour servir avant tout leurs intérêts. La tentation d'un "complot à vocation transcendantale" est trop forte : poussés tel Madoff à se protéger par des paris de plus en plus gros, des apprentis-sorciers drogués par l'appât du gain jouent avec la vie de l'espèce suivant un objectif oligarchique déjà gravé dans le marbre aux Georgia Guidestones : réduire une population mondiale de 7 milliards à 500 millions seulement (1 homme sur 14 jugé digne de vivre !).

- UNE HYPERSHOAH INIMAGINABLE! s'exclameront beaucoup,

- COMME LA SHOAH AVANT L'HEURE, pourrait-on leur répondre : On s'habitue vite à l'inimaginable.

Une robotisation planétaire des moyens de production n'enrichit plus que les propriétaires de robots en détruisant l'emploi et l'entreprise. Une caste de quelques millions d'oligarques de plus en plus riches réduit ainsi la part de milliards d'hommes en situation de précarité éliminés comme de vieux robots. L'absence de prédateur séparant l'homme de la bête est levée : l'oligarque vit déjà plus longtemps que les autres en enfermant la vie vers son extinction (le Mal ou la Mort : "le Diable") au lieu de sa renaissance (le Bien ou la Vie : "Dieu"). Comme l'herbe derrière Attila, la vie ne repousse pas derrière lui, et seule une Inquisition rendant hérétique ("communiste" !) toute contestation réelle du système cache un cancer de l'espèce trouvant dans le marché un terrain favorable. Comme devant l'incendie ou le dérèglement climatique, le Mal est là et ce n'est pas le moment de se quereller sur le nom ni sur l'origine de "ce désordre global" : un Mal naturel ou non, ou en interaction, peu importe ! On s'épuisera en vain sur sa nature et son degré de désordre, mais ce qui est certain, c'est qu'il se développera comme tout cancer si on refuse de reconnaître son existence et de le combattre de façon rationnelle et responsable ! Ce cancer oligarchique de nature entropique élimine répétitivement des millions d'hommes (délocalisation, spéculation, guerre...), et des maîtres d'oeuvre masqués d'une avant-garde infernale démontrent de façon provocatrice en construisant ce monument (Georgia Guidestones) qu'ils ont de puissants complices, plein d'argent, de savoir et de science... Si un Ben Laden petit délinquant a été pris, un homme prédateur cherche toujours follement un salut individuel par un "complot ou un désordre à vocation transcendantale" qui ne laissera aucun élu. L'espèce est en effet une et indivisible dans son ascension à la conscience et personne ne pourra égoïstement se sauver, les plus riches pas plus que les plus pauvres : sans une prise de conscience collective, une caste de boucs émissaires sera toujours prête à renaître de ses cendres par la violence. Malgré un souhait partagé par beaucoup (Paul Jorion), le cancer oligarchique est trop enraciné pour se résorber sans une réelle volonté de guérir de l'humanité toute entière, oligarchie en tête. L'espèce est condamnée à s'unir ou à disparaître.


A ce stade de son évolution, un "Pari Pascalien" s'impose à l'homme : toute espèce sur le point d'entreprendre des voyages interstellaires (la nôtre demain ?) est vraisemblablement sommée par celles qui les pratiquent déjà de s'anoblir afin de se comporter en "Dieu" envers son environnement et toutes les espèces moins avancées : un "concept de Dieu" renaissant tel Osiris dans une Transcendance de préservation de la vie universelle (voir "Un reflet virtuel de l'homme"). Des voyageurs anoblis préserveraient la vie cosmique et veilleraient à garder enfermée dans son écosystème une espèce restée prédatrice telle que l'humanité. Le Silence Cosmique observé jusqu'ici et l'existence même de la vie plaident donc ensemble pour une assurance-vie d'anoblissement plutôt que pour une absence de mauvais augure de voyageurs plus avancés : s'ils n'existent pas, l'homme et la vie cosmique elle-même ont peu de chances de perdurer longtemps. Le potentiel rationnel de cette assurance-vie (grâce attendue avec elle contre risque encouru sans elle) devrait réunir croyants et athées d'une espèce intelligente comme la nôtre dans un même pari de vie par la transcendance. Un Cancer dresse les hommes les uns contre les autres en les menant tels des moutons à l'abattoir s'ils ne souscrivent pas à ce pari, et C'EST A L'HUMANITE TOUTE ENTIERE DE PRENDRE CONSCIENCE DE SON MAL POUR LE GUERIR ET S'EVEILLER A TEMPS !


Les millions de morts pareillement avertis par un livre ("Mein Kampf" d'Adolf Hitler) banalisé à sa parution doivent se retourner dans leurs tombes devant notre aveuglement. Ce monument devrait être gardé pour mesurer (comme pour les inondations ou les séismes) la hauteur atteinte lors de son édification (1980) par le "Complot". "Le Guidestones" servirait ainsi d'étalon pour guérir l'espèce de son Cancer avant qu'il ne devienne irrémédiable.

Un débat sur un désordre que l'on veut cacher nourrit un Mal à vocation universelle, éloignant des voyageurs las d'attendre l'éveil d'un homme obstiné. Comme la femme refusant sa grossesse en avortant à temps, l'espèce avortera de son Cancer sous peine d'une destruction à l'image d'une rentrée atmosphérique incontrôlée. "La roulette russe du Cancer" la tuera si elle persiste à jouer sa vie. En passant d'une fausse couche ... de guerre mondiale ... à la suivante... de crise économique, une planète-mère frappée au ventre finira comme la femme enceinte battue par mourir en emportant l'humanité. L'espèce doit s'anoblir en développant des instruments et une éthique appropriée pour affronter son Mal et le guérir à temps, et non pour le cacher et risquer de le découvrir alors trop tard.

Des drames récents (11/09, Breivik) montrent que le Mal voudra toujours se dépasser si on le cultive. A l'image du Titanic, l'espèce est menacée par un "Icerberg" trop tentant pour ne pas attirer de gros prédateurs, terrestres ou autres, qui ne pourront au mieux que sombrer les derniers dans les cales d'un Enfer par eux-mêmes aménagé ! Une humanité qui ne protège pas les plus faibles de ses semblables contre ses propres prédateurs (comme parfois le soir dans le Métro) ne survivra pas plus qu'eux dans un Silence Criminel Inacceptable entre semblables. Sans volonté réelle de changement, l'entropie d'un tel système ne peut que se dégrader. Comme dans la famille, l'espèce doit choisir entre un partage équitable ou l'autodestruction !


Si le Mal tend naturellement à devenir transcendantal, il pourrait heureusement en être de même du Bien dans une humanité qui choisirait de s'anoblir au lieu de s'obstiner à vouloir demeurer dans une prédation barbare, sinon bestiale.
"Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie" disait déjà Pascal. Ce Silence Cosmique a été jusqu'ici le plus souvent perçu comme une absence probable d'autres formes de vie dans l'univers, ou pour le moins de nomades capables de voyages interstellaires. Tel l'adolescent souvent devant l'adulte, l'homme n'envisage même pas d'être tenu à l'écart.


Pourtant, cette mise à l'écart existe déjà dans la vie courante où une certaine chronologie est observée dans la transmission de tout savoir ou expérience. Il ne viendrait ainsi à l'idée de personne d'exposer des problèmes de mathématiques supérieures (ou de sexualité) à un enfant qui ne maîtrise pas encore les plus simples opérations. L'histoire de l'humanité pourrait aussi être assimilée à une vie, et l'homme moderne mettrait alors en danger l'homme de la Préhistoire ou de la Renaissance s'il pouvait demain les contacter. L'homme moderne pourrait de même être encore un enfant immature ou même un être préhistorique aux yeux d'un voyageur interstellaire. La sagesse et l'éthique nous disent que l'expérience des générations successives ne pourrait ainsi être court-circuitée sans dommage irréparable pour les moins avancées. Les relations entre des espèces trop éloignées dans leur évolution sont de la part des plus avancées de même nature que le viol pédophile chez nous. Compte tenu de la durée d'un voyage interstellaire, seules des civilisations de prédateurs cosmiques contacteraient donc une humanité encore planétairement enfermée. Le Silence Cosmique pourrait bien annoncer une protection de l'homme par des voyageurs bienveillants.

Mais si aucun voyageur ne pourrait donc nous aborder sans s'affronter alors à tous les autres, ne pourrait-il quand même nous faire seulement savoir qu'il existe, ne serait-ce que pour nous rassurer ? La réponse est sans doute non : en tous cas pas tant que l'espèce n'aura pas suffisamment grandi pour maîtriser le voyage interstellaire et assumer sa responsabilité cosmique... comme l'adolescent doit lui-même s'affirmer dans sa maturité et sa sexualité avant d'être accueilli en adulte. C'est la justification d'un Silence qui ne sera sans doute jamais totalement réduit, même pour des voyageurs attendant l'allégeance de l'humanité avant de la contacter. Des civilisations plus avancées ne se seraient pas dévoilées à eux, de vrais contacts n'étant possibles qu'entre des civilisations d'âges compatibles. Pour respecter sa liberté, des nomades anoblis aideront l'homme à réaliser son vrai choix : une Autotranscendance de Bienveillance et de création, ou une de Malveillance et d'Autodestruction !


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