Introduction

Tout voyageur est planétairement surnaturel. Ainsi sera perçu un homme chez un extraterrestre moins avancé, de même qu'un nomade chez un prédateur terrestre impérialiste et furtif qui extermine par tous les moyens (drones, OTAN, OMC, FMI...) tous ceux qui ne s'alignent pas : la faune, la flore, les pauvres, les communistes, Le Che, Sadam, Ben Laden, Kadhafi, Milosevic, ... Un voyageur infiniment plus fort ne permettra pas la survie d'une espèce humaine qui le menace potentiellement en s'en prenant à la vie. Il n'est pas scientifique ni prudent d'écarter la loi d'un plus fort potentiellement furtif, comme l'homme l'est déjà envers les plus faibles : la sagesse commande de se protéger contre une Apocalypse imparable en allant au-devant des souhaits de potentiels voyageurs invincibles, comme tout état qui se protège dans une alliance déjà existante ou à créer (Europe, ONU, OTAN...). Le "surnaturel" devient alors un moyen naturel de transmission de messages forts* de l'amont vers l'aval, sans des échanges directs conflictuels et mutuellement autodestructeurs. Déjà supervisée ou non par des aînées plus avancées dans leur transcendance, toute génération cosmique devenue scientifiquement irrattrapable par les suivantes interviendra ainsi à son niveau dans l'évolution en aval : le modèle gigogne d'un apartheid cosmique rationnel imposé par le plus fort devenu aussi le plus sage. L'homme attendra-t-il l'Apocalypse pour y adhérer ? Une science enfin reconvertie à la paix * anoblira l'espèce pour la préparer à s'intégrer pour son salut dans une chaîne furtive de bienveillance en communion cosmique d'amont en aval !

mercredi 28 décembre 2011

Une bienveillance cosmique

Par AristeUn homme-enfant rêve de remplacer le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici 

Le Bien, c'est tout ce qui conforte la vie sous toutes ses formes, le Mal tout ce qui la dégrade. Née du hasard ou non, une espèce avancée devenue vraiment consciente (transcendante) confortera la vie dans son écosystème. C'est une nécessité d'anoblissement par transcendance que toute espèce de voyageurs confirmés restés dans l'ombre exigera d'elle avant de la laisser pénétrer dans l'espace interstellaire. Elle poursuivra sinon une lente agonie d'autodestruction dans son écosystème.



Lecture des articles suivant les liens correspondants dans l'index général ci-contre ou par la piste de lecture suivante avec clés cosmiques cliquables (--) pour l'ouverture de fenêtres d'éclairage :

Piste de lecture : Partons du paradoxe de Fermi, sans ovnis intelligents ni traces de visiteurs ou de simple vie extraterrestre ( 01), avec un homme planétairement enfermé (02). Questions à résoudre et clés possibles :


Prédateur des plus faibles dont ses propres semblables (03 +  +), l'homme ne peut raisonnablement s'attendre à ce que d'éventuels visiteurs se désarment en se dévoilant devant lui en toute confiance, comme il le leur demande naïvement (NASA/SETI, CNES/GEPAN...), ou agressivement par un surarmement de défi ! (04 + +). Avec une telle avance par la seule durée du voyage, ils resteraient sagement dans l'ombre, à l'exception de prédateurs cosmiques tels que l'homme qui ravageraient déjà la galaxie et notre écosystème s'ils n'étaient pas planétairement confinés (05 + +). Au lieu du pari actuel sur sa solitude et sa prééminence dans l'univers, l'homme gagnerait en pariant sur un message de sagesse porté par un silence cosmique troublant : le pari d'une discrétion naturelle et voulue d'un impérialisme cosmique de bienveillance et de paix incompatible avec une malveillance humaine d'autodestruction de la vie ! Un cosmos naturellement silencieux attendrait alors pacifiquement que l'humanité choisisse elle aussi de s'anoblir en toute liberté et conscience. Des voyageurs déjà anoblis par une non-violence exemplaire et choisie protègeraient ainsi jusqu'au bout contre toute malveillance ou danger cosmique un homme non éveillé, mais conservant un potentiel de conscience pour choisir à son tour de devenir gardien de la vie cosmique. A la frontière interstellaire comme à l'entrée de Thèbes pour Œdipe, un "Sphinx Cosmique de garde" attendrait alors en silence la réponse du voyageur à son énigme de sagesse pour le laisser ou non entrer (06 +) : une espèce anoblie serait accueillie, une prédatrice repoussée et à terme exterminée !

Mais il reste que l'espèce humaine pourrait aussi être la plus avancée de la Galaxie ou même de l'univers : loin de se réduire, sa responsabilité envers une vie terrestre peut-être unique, et la vie intelligente encore plus, serait alors cosmique. Elle devrait dès lors s'en préoccuper comme de la prunelle de ses yeux (07 + +) en instituant elle-même cet impérialisme cosmique par son anoblissement dans le silence. Une humanité enfermée aurait cependant plus de chances de durer si des civilisations capables de voyages interstellaires existent déjà (08 + +) : la vie avancée ne serait alors pas condamnée comme elle semble l'être sur Terre (09 + + +).

Une voie gigogne de transcendance et de salut (10 + +) pour les espèces avancées

Si cela resterait un choix, l'existence de voyageurs bienveillants est donc plus que vraisemblable (11 + + +) et un refus de s'anoblir représenterait en tous cas le plus grand risque pour l'espèce : elle devrait en effet s'affronter à l'hostilité cachée de toutes celles qui auraient dans l'ombre déjà fait ce choix de bienveillance d'ailleurs hautement souhaitable d'un point de vue purement éthique dans un univers préservant naturellement la vie (12 + +). Qu'elle soit la première ou non à s'anoblir, elle encourt un risque d'apocalypse si elle ne le fait pas !

Des générations de civilisations nomades progresseraient alors en file indienne à la recherche de Dieu pour les croyants, ou de la perfection par le progrès pour les autres : une configuration en "poupées russes" représentant chacune une génération (13 + +). Supervisant discrètement l'évolution de sa propre descendance, chaque poupée de la file née elle-même d'un pari fait des milliers ou des millions d'années après la précédente n'aurait aucune certitude quant à l'existence d'une ascendance, n'excluant jamais d'être la première (14 + +). Une Transcendance Cosmique amorcée demain par un homme anobli se perpétuerait ainsi, avec ou sans ascendance !

Une existence virtuelle sauvegardée ou nichée sur "le disque dur de l'univers" (dans la matière et dans la science) assurerait l'invisibilité d'une ascendance cosmique s'étalant sur des milliards d'années, chaque poupée précédant la suivante de milliers ou de millions d'années dans une avance irratrapable (15 +). Une humanité anoblie serait donc à son tour amenée à parier en engendrant une nouvelle poupée en communion avec les nouveaux venus au voyage qui l'auraient discrètement séduite avant de l'approcher, ou avec d'autres espèces avancées encore enfermées qu'elle séduira et anoblira pareillement (16 +). Les dernières espèces anoblies éveilleraient ainsi celles atteignant l'âge de la séduction, sans jamais pouvoir affirmer que la poupée qu'elles s'apprêteraient à engendrer ensemble sera d'une première ou d'une dernière communion cosmique (17 +). Ainsi se poursuivrait une ascension transcendantale jamais terminée vers la perfection ou vers un Dieu d'éternelle renaissance (modèle : Osiris ?), chaque poupée entraînant sa suite dans un éternel pari (18), avec sans doute d'autres sauts de transcendance par de nouveaux paris tout au long de son ascension. Les espèces obstinées à refuser l'allégeance cosmique seraient condamnées à disparaître (19).

Une approche discrète de séduction cosmique (20 +)

Les espèces anoblies se tairaient toutes face à des moins avancées demeurant infréquentables tant qu'elles n'ont pas acquis une égale noblesse. Une humanité finalement anoblie serait donc appelée à engendrer une nouvelle poupée avec les derniers voyageurs de la file (21). Ces séducteurs en âge de l'approcher pour procréer seraient des êtres juste un peu plus avancés qui n'auraient que récemment maîtrisé le voyage interstellaire et la noblesse (22). Ils n'auraient qu'une "longeur d'avance" sur l'homme, n'appartenant pas à la génération cosmique précédente qui l'aurait hominisé et qui resterait pour sa part invisible, parvenue à un stade supérieur d'évolution dans la transcendance.

Autres questions : Ces derniers venus au voyage seraient déjà transcendants et n'auraient donc rien à craindre de nous. Pourquoi ces futurs "conjoints cosmiques de l'espèce" se taisent-ils donc eux aussi ? (23 +). L'homme n'est pas en guerre contre eux (Si ! -> & & &). Pourquoi ignorent-ils alors délibérément nos messages de paix (SETI et autres). (24)

Autres questions plus concrètes : Si des voyageurs bienveillants ont engagé avec l'espèce un dialogue de séduction par ovnis interposés, qu'attendent-ils exactement (25), et comment leur répondre concrètement puisqu'ils restent silencieux et furtifs. Auraient-ils fait voeu de silence en attendant un nouveau comportement de l'espèce toute entière ? (26)

Autres sujets d'inquiétude : Une espèce prédatrice (27 + +) épuisera un jour ou l'autre son écosystème : surpopulation, surconsommation, réchauffement climatique...(28) Une oligarchie réduite ne pourrait-elle choisir d'aller vivre ailleurs en abandonnant le reste de l'espèce, avec l'aide d'un impérialisme cosmique diabolique ? (29 +). Est-il seulement possible de sauver toute l'espèce et faire ainsi de l'homme le dernier messager de la file ? Réponse : Oui ->(30).

Un objectif divin : Un homme dernier messager appelé à devenir collectivement en tant qu'espèce anoblie un Dieu potentiel afin d'éveiller à la conscience cosmique d'autres espèces encore planétairement enfermées comme lui-même jusqu'ici et de mettre au monde sa propre descendance (31). Plus qu'une transcendance réelle, c'est une volonté de survie qui manque aujourd'hui à une espèce humaine (32) qui doit se donner des outils pour mesurer ses progrès vers la Transcendance (33). "Hasard ou nécessité", pourquoi vouloir trancher !

Le pari cosmique attendu de l'humanité par toute espèce déjà anoblie (ou par Dieu)

Parier qu'il pleuvra au moins une fois sur Brest dans l'année serait peu risqué. Parier sur la naissance au moins d'une espèce transcendantale de voyageurs dans les derniers milliards d'années le serait encore moins (34). Une seule espèce anoblie dans la Galaxie serait en tous cas suffisante pour imposer discrètement sa loi aux espèces moins avancées, même dans un univers apparu conformément à l'hypothèse actuelle du hasard. Cette loi cosmique, c'est la grâce accordée aux espèces avancées qui reconnaissent cette transcendance sans la contrainte préalable d'une certitude, et l'autodestruction assurée pour celles qui s'obstinent à la refuser (35) ! Une vie cosmique de responsabilité et de liberté serait ainsi pour toujours préservée, sans colonisation ni violence (36).


Malgré des valeurs républicaines de transcendance (Liberté, Egalité, Fraternité) associables pour le meilleur ou pour le pire, l'humanité a jusqu'ici choisi le pire : aller s'écraser contre un Mur de Silence Cosmique cachant un trésor pourtant grandiose  (37 +)Dans un monde où règne la force, 


la liberté est la résultante mécanique 
de l'égalité et de la fraternité :
deux ailes qui la portent. 



La bête est déjà libre et ce n'est donc pas tant une liberté abstraite (F) qui est directement menacée comme le clame la propagande, mais une égalité (F1) et une fraternité (F2) : deux ailes que le Capital réduira au maximum par les inégalités et la guerre pour que le monde reste une jungle où l'égoïsme du plus fort (son propre intérêt : délocalisations, licenciements, précarité, pollution, profits...) prévaudra sur tout le reste (l'emploi, la planète, la santé, la paix, la vie...). La devise transcendantale s'énoncera donc dans cette équation rationnelle : Liberté = Egalité + Fraternité. Sinon, elle n'existera jamais vraiment.
Sans égalité ni fraternité, c'est 
la misère et la guerre pour 99% des hommes,
et une liberté laissée aux seuls plus riches, soit 1%.

Cette oligarchie prédatrice met en amont SA LIBERTE pour couper les ailes d'égalité et de fraternité que l'espèce doit développer pour s'extraire de ses griffes. Comme pourrait dire la fable "le lièvre et la tortue", la conscience "d'une tortue désarmée" (image du radar souvent caché) ne se laissera pas toujours dépasser en toute impunité par "la science d'un lièvre " qui l'ignore (le chauffard). Une force de création se partagera en deux parts égales (38) : une égalité individuellement dûe en toute équité, et une fraternité entretenue en toute convivialité ("Chacun en a sa part et tous l'ont tout entier" V. Hugo : l'amour d'une mère). L'oligarchie sépare les hommes par un partage fondamentalement inéquitable des richesses. 

Le prédateur enchaîne l'espèce à sa planète dans une lente agonie. 
Un hameçon en argent brilllant leurre encore ses semblables
Mais seule une bête restée inconsciente se laissera ainsi 
rançonner, et cette prédation primitive s'épuisera.
Malgré des leurres démocratiques de plus en plus brillants en hameçons. 

En n'attendant aucun sauveur suprême, l'Internationale ne contredit pas le vieux proverbe "Aide-toi, le ciel t'aidera" (39 + +). Potentielle ou déjà existante mais à faire naître localement, une Transcendance Cosmique n'aidera qu'une espèce qui mettra exclusivement sa science au service de la raison pour se guérir (40 + ) d'une addiction de propagande infernale à laquelle elle est de plus en plus soumise. Les métastases d'un cancer potentiellement généralisé seront ainsi arrêtées à temps.