Introduction

Tout voyageur est planétairement surnaturel. Ainsi sera perçu un homme chez un extraterrestre moins avancé, de même qu'un nomade chez un prédateur terrestre impérialiste et furtif qui extermine par tous les moyens (drones, OTAN, OMC, FMI...) tous ceux qui ne s'alignent pas : la faune, la flore, les pauvres, les communistes, Le Che, Sadam, Ben Laden, Kadhafi, Milosevic, ... Un voyageur infiniment plus fort ne permettra pas la survie d'une espèce humaine qui le menace potentiellement en s'en prenant à la vie. Il n'est pas scientifique ni prudent d'écarter la loi d'un plus fort potentiellement furtif, comme l'homme l'est déjà envers les plus faibles : la sagesse commande de se protéger contre une Apocalypse imparable en allant au-devant des souhaits de potentiels voyageurs invincibles, comme tout état qui se protège dans une alliance déjà existante ou à créer (Europe, ONU, OTAN...). Le "surnaturel" devient alors un moyen naturel de transmission de messages forts* de l'amont vers l'aval, sans des échanges directs conflictuels et mutuellement autodestructeurs. Déjà supervisée ou non par des aînées plus avancées dans leur transcendance, toute génération cosmique devenue scientifiquement irrattrapable par les suivantes interviendra ainsi à son niveau dans l'évolution en aval : le modèle gigogne d'un apartheid cosmique rationnel imposé par le plus fort devenu aussi le plus sage. L'homme attendra-t-il l'Apocalypse pour y adhérer ? Une science enfin reconvertie à la paix * anoblira l'espèce pour la préparer à s'intégrer pour son salut dans une chaîne furtive de bienveillance en communion cosmique d'amont en aval !

mercredi 5 septembre 2012

Un Apartheid Cosmique de Salut

Par Ariste / (Un homme-enfant rêve de remplacer le plus fort alors que
le seul choix rationnel est celui de Pascal : Article le + récent de l'auteur  sur ce thème ici

La poupée russe et l'allégeance cosmique : En route vers la perfection, une virtuelle poupée russe qui tient à garder sa tête n'accueillera en son sein une suivante moins grosse et moins avancée qu'elle que si cette dernière s'est déjà préparée à faire de même... Les poupées gigognes de l'autotranscendance resteraient sinon dispersées et vulnérables dans un désordre cosmique d'autodestruction.
Autotranscendance ou autodestruction cosmiquement et discrètement assistée :
Stephen Hawking a peut-être raison : "Il n'est nul besoin d'invoquer Dieu pour qu'il allume la mèche et fasse naître l'univers". Mais des générations de voyageurs infiniment plus avancés vivant individuellement en apartheid en tête d'une chaine de transcendance cosmique, et l'humanité associée à d'autres espèces extraterrestres moins avancées dans une dernière génération placée en queue, pourraient désormais aller tour à tour allumer la mèche pour faire naître et renaître de nouveaux univers indéfiniment. 

Ne pouvant jamais être totalement dévoilée, la science est déjà en elle-même surnaturelle. Une civilisation avancée qui se dissimule scientifiquement en apartheid cosmique restera donc surnaturelle pour les moins avancées, et si elle le décide, elle ne sera jamais découverte par ces dernières. Seules les plus avancées devenues nomades vivant alors elles aussi en apartheid choisi en raison du silence cosmique pourraient toutes l'observer et intervenir discrètement dans son évolution pour s'en protéger à long terme dans une forme d'assurance-vie. Cet apartheid cosmique des civilisations interstellaires les plus avancées se suivant avec des intervalles de milliers d'années pourrait se poursuivre à l'infini (jusqu'à Dieu pour les croyants), la vie intelligente et consciente intégrant peu à peu la science et l'univers dans une autotranscendance allant vers la perfection. Toute civilisation dans cette chaîne d'apartheid cosmique pourrait ainsi se croire la plus avancée, ce qui est déjà le cas pour l'humanité. Si ce choix cosmique rationnel et éthique a déjà été fait par une seule civilisation extraterrestre sur des millions ou des milliards peut-être depuis le Bigbang, l'humanité n'a pas d'autre choix : celui d'une autotranscendance ou d'une autodestruction discrètement assistée ! L'hypothèse d'une telle Apocalypse terrestre apportée par des civilisations plus avancées n'est pourtant même pas scientifiquement envisagée par un homme qui l'apporte quant à lui déjà quotidiennement et tout aussi furtivement à ses semblables moins avancés : misère et faim, spéculation, délocalisations et chômage, ...Hiroshima et Nagazaki, Vietnam, Irak, Lybie, Serbie, l'Iran demain (?), ... Sadam Hussein, Ben Laden, Kadhafi ..., l'avortement en contraception... Sans bienveillance cosmique, il serait déjà perdu.        Suite




- La Menace d'Apocalypse d'un Apartheid Cosmique :
Dans "sa course de lièvre devant une tortue de mort" qui le rattrapera toujours, l'individu raisonnable se laissera sereinement dépasser sans s'ajouter encore de la peine à sa peine. Mais une espèce intelligente et consciente planétairement enfermée devrait-elle se laisser dépasser par une mort entropique annoncée par un épuisement à terme incontournable de son écosystème si cette mort se révèle finalement évitable, sans contredire les faits connus (la science, le silence cosmique, l'absence apparente de voyageurs.)

  Le Dôme de la bombe d'Hiroshima
Un catastrophisme ambiant actuel le plus souvent obscur (2012) détourne l'attention de l'homme d'un vrai danger potentiel.  Un choix cosmique d'urgence ainsi énoncé s'impose pourtant à lui : 
Supposons qu'une seule civilisation avancée (telle que la nôtre parmi des millions d'autres ?) se soit réfugiée en apartheid cosmique pour faire un choix éthique d'autotranscendance, c'est-à-dire d'une optimisation de la vie locale et à terme universelle sous toutes ses formes. Silencieuse et invisible pour les moins avancées, elle se contentera donc d'intervenir furtivement et en toute bienveillance dans leur évolution dès son accès à l'exploration et au voyage interstellaire. Les éventuelles civilisations plus avancées du voisinage interstellaire déjà devenues nomades auraient alors toutes fait le même choix en raison du silence cosmique.
 Pour compenser la malveillance bien visible de l'homme envers la vie et empêcher son évasion interstellaire potentiellement néfaste, la bienveillance des nomades les amènera à des interventions humainement perçues comme naturelles (climatiques, telluriques, sismiques, sanitaires, génétiques, cosmiques, économiques, sociales...). De plus en plus accentuées et diverses, leurs réactions face au comportement de l'espèce humaine iraient alors jusqu'à l'Apocalypse terrestre. "Œil pour œil, dent pour dent" : l'homme prendra ainsi conscience ou sera à terme exterminé !    Suite






- "Un Boson de Vie Durable" :


Un Ordre Cosmique né d'une Immanence ou élaboré tout au long d'une Transcendance Intégrale de gestation issue du néant et du seul hasard, selon la science et Darwin ? Dans l'ombre évanescente des dieux de tous les temps, une force tranquille attend patiemment et jusqu'ici en vain l'investissement concret d'un homme intelligent et conscient dans la vie. Sa contribution à une stricte conservation de cet Ordre Cosmique pour une vie durable n'est pourtant jamais que "la dérivée à l'infini" d'une force transcendantale intégrale déjà potentielle. Avec la vie intelligente, seul l'Ordre peut être choisi et entretenu, le Cancer du Désordre naissant et croissant de lui-même en multipliant toujours ses métastases (l'entropie*) jusqu'à l'autodestruction de son écosystème. L'homme ne méritera finalement plus de vivre s'il épuise la vie.

Le Silence Inviolable d'un Apartheid Cosmique Rationnel et Divin :
"La main invisible" de la transcendance.

L'homme interdira-t-il à une première civilisation de voyageurs un choix d'autotranscendance en apartheid cosmique ? Ce choix rationnel et éthique que nul ne peut raisonnablement exclure aurait pourtant déjà été fait par simple prudence par des millions de civilisations avancées. Elles l'auraient fait à titre d'allégeance à une ascendance cosmique potentielle, ce que confirme alors "un silence éternel..." qui effrayait déjà tant Pascal.

La première à l'avoir fait ne laissera de toute façon pas d'autre choix aux autres avant de les aider à s'évader d'un enfermement planétaire fatal à terme. Des êtres de transcendance voyageraient à la vitesse de la lumière* pour rejoindre digitalement et venir s'intégrer dans des robots-porteurs lancés d'avance à vitesse plus réduite ou classique et déjà parvenus dans le voisinage terrrestre.    Suite

La foi de charbonnier cosmique d’un homme misant jusqu’ici sur l'hypothèse la plus scientifiquement improbable : sa solitude - ou sa prééminence, ce qui revient au même - dans un univers comptant pourtant au moins cent milliards de galaxies avec sans doute chacune en moyenne autant d'étoiles et probablement beaucoup plus de planètes. Ce pari cosmique insensé n'est en réalité fondé que sur un faux paradoxe de Fermi d’absence apparente de visiteurs extraterrestres considérée une fois pour toutes comme la preuve de leur inexistence, alors que des bienveillants ne pourraient raisonnablement que se cacher : une inexistence qui arrange bien un homme prédateur. 

La seule logique qui en résulte : l'homme mise donc bien scientifiquement et en toute conscience sur une malveillance cosmique naturelle, tout en se croyant le leader incontestable en la matière !

Un homme effectivement malveillant qui se rend lui-même toujours plus furtif et invisible (avions, drones, satellites...) pour s'en prendre aux plus faibles de ses semblables qui le menacent dans ses choix, tout en réfutant ce même droit d'autodéfense à des visiteurs plus avancés qu'il préfère tout aussi égoïstement exclure ! Il les menace pourtant bien lui aussi en s’en prenant à la vie en général, le bien cosmique le plus précieux ! Si ce choix de malveillance cosmique né de l'ignorance était à l'origine purement animal, l'homme persiste et signe en confirmant chaque jour scientifiquement et en toute conscience sa responsabilité toute entière par un comportement de plus en plus prédateur envers la vie sous toutes ses formes. Cette irresponsabilité cosmique ne sera pas indéfiniment tolérée par des voyageurs. 

                  
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- Un autre écho du silence cosmique :

Face à un cosmos silencieux, un homme autodidacte et rationnel se taira de même par précaution en découvrant son enfermement dans un écosystème aux ressources limitées qui le rend à la fois potentiellement dangereux pour lui-même et pour toute vie extraterrestre. Ne pouvant malgré tout exclure sa solitude, il voudra assurer un progrès transcendantal d'une vie cosmique aussi précieuse en préparant son évasion interstellaire pour une existence durable sinon éternelle. Il s'engagera également à préparer furtivement des primates à l'entretien d'un feu cosmique local après son départ, en vue de former une autre espèce appelée à s'évader à son tour tout aussi furtivement un jour. 
                    
Si Dieu n'existe pas encore, une Transcendance d'une égale ambition de grandeur se préparera ainsi furtivement à naître et à renaître éternellement.

Une file indienne de générations transcendantales séparées de milliers ou de millions d'années réaliserait alors en apartheid cosmique une ascension gigogne vers un sommet de perfection situé à l'infini : une ascendance irrattrapable et demeurant incertaine en amont, mais une descendance appelée à devenir bien réelle en aval avec un homme anobli prêt à accueillir des éclaireurs de sa propre Transcendance à une table de communion !

C'est la responsabilité cosmique envers la vie d'un homme plus avancé ou non. Des visiteurs extraterrestres ayant fait ce choix naturel verront sinon en lui un ennemi prêt à éteindre toute flamme de vie universelle, comme il le fait déjà planétairement. Chercher de front à le convaincre de cette responsabilité cosmique les conduirait à une colonisation apocalyptique de l'univers et à une extinction à terme de toute vie ! Ils se garderont donc sagement de contacter "ce mauvais gardien terrestre du feu cosmique" pour attendre furtivement sa transcendance volontaire ou sa mort. Avant de s'adresser aux extraterrestres, l'homme devra seul et en toute liberté acquérir cette conscience cosmique de respect de la vie : Qui n'entretient pas le feu cosmique n'est pas fréquentable !


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Le Bien, c'est tout ce qui conforte la vie sous toutes ses formes, le Mal tout ce qui la dégrade. Née du hasard ou non, une espèce avancée devenue vraiment consciente (transcendante) confortera la vie dans son écosystème. C'est une nécessité d'anoblissement par transcendance que toute espèce de voyageurs confirmés restés dans l'ombre exigera d'elle avant de la laisser pénétrer dans l'espace interstellaire. Elle poursuivra sinon une lente agonie d'autodestruction dans son écosystème.                            

Prédateur des plus faibles dont ses propres semblables, l'homme ne peut raisonnablement s'attendre à ce que d'éventuels visiteurs se désarment en se dévoilant devant lui en toute confiance, comme il le leur demande naïvement (NASA/SETI, CNES/GEPAN...), ou agressivement par un surarmement de défi ! Avec une telle avance par la seule durée du voyage, ils resteraient sagement dans l'ombre, à l'exception de prédateurs cosmiques tels que l'homme qui ravageraient déjà la galaxie et notre écosystème s'ils n'étaient pas planétairement confinés. Au lieu du pari actuel sur sa solitude et sa prééminence dans l'univers, l'homme gagnerait en pariant sur un message de sagesse porté par un silence cosmique troublant : le pari d'une discrétion naturelle et voulue d'un impérialisme cosmique de bienveillance et de paix incompatible avec une malveillance humaine d'autodestruction de la vie ! Un cosmos naturellement silencieux attendrait alors pacifiquement que l'humanité choisisse elle aussi de s'anoblir en toute liberté et conscience. Des voyageurs déjà anoblis par une non-violence exemplaire et choisie protègeraient ainsi jusqu'au bout contre toute malveillance ou danger cosmique un homme non éveillé, mais conservant un potentiel de conscience pour choisir à son tour de devenir gardien de la vie cosmique. A la frontière interstellaire comme à l'entrée de Thèbes pour Œdipe, un "Sphinx Cosmique de garde" attendrait alors en silence la réponse du voyageur à son énigme de sagesse pour le laisser ou non entrer : une espèce anoblie serait accueillie, une prédatrice repoussée et à terme exterminée. L'homme ne devra pas épuiser le potentiel de conscience de son patrimoine cosmique !  Suite





- Un silence cosmique non négociable :

Le Cancer Capitaliste : Vers une Transcendance Oligarchique dans la Malveillance.

Sur le vaisseau de l'enfer terrestre qu'il entretient aux dépens de l'espèce et de l'écosystème, le capitalisme a aménagé un purgatoire de plus en plus invivable sur les ponts inférieurs et un semblant de paradis sur le pont supérieur. Mais ces espaces précaires de répit pour les uns ne sont acquis qu'au prix de tortures toujours plus intolérables infligées aux autres repoussés en fond de cale
                  
       Georgia guidestones
  Le symbole d'une menace
L'Idéologie Dominante présente comme non fondée et donc ridicule toute théorie de complot oligarchique. Devant les Tours de Manhantan ou de pareils drames, le citoyen se trouve effectivement comme devant un tour de magie. Il sait par contre bien que les magiciens qui mettent en scène l'actualité sont de loin les mieux placés pour le tromper puisqu'ils peuvent mondialement rendre leurs truquages plus crédibles que la réalité (armes de destruction massive de Sadam, et autre tours...). Dans l'hypothèse officiellement avancée où il n'y a jamais eu de complot oligarchique le 11 Septembre, la guerre d'Irak déclenchée en vertu de l'existence d'armes de destruction massive finalement inexistantes a quant à elle toutes les apparences d'un vrai complot : une bagatelle de centaines de milliers, sinon plus d'un million de victimes ou davantage !

Mais le cancer de l'espèce est bien plus grave qu'un simple complot que l'on pourrait facilement déjouer. Ses métastases mortelles partent d'un homme qui a fait jusqu'ici le mauvais choix : un pari cosmique sournois le préparant à imposer universellement sa violence ! Tant qu'il n'aura pas démontré sa volonté d'assumer ses responsabilités de gestionnaire de son écosystème, sa décadence se poursuivra donc jusqu'à son suicide cosmique assisté alors par toute civilisation de voyageurs déjà existante.


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- Un sapiens transcendantal dans un univers gigogne :

La Transcréation -  Une Discrète Evolution Transcendantale de la Conscience.
Les espèces végétales et animales sont prédatrices entre elles, et transcendantales en participant collectivement à l'harmonie de leur écosystème. Plantes et bêtes transcendent leur milieu par une prédation mesurée en fonction de relations plus ou moins tourmentées par des affinités ou des antipathies.

Elles s'associent jusqu'à la passion et s'affrontent aussi sans merci, mais sans intervention trop brutale (l'homme, les éléments), leurs relations s'équilibrent dans une harmonie naturelle rencontrée partout. Les espèces trop envahissantes sont confinées, les plus fragiles protégées... Les lois naturelles étant observées, l'écosystème évoluera transcendantalement : un épanouissement optimal de la vie globale.                      

Mais "tel un éléphant dans un magasin de porcelaines", un homme plus fort que sage rompt cet équilibre en sortant des lois naturelles par la force : une science sans conscience. Tel un squatteur qui s'y retrouverait bêtement piégé, il dégrade ainsi sottement le ventre naturel et seule demeure de l'espèce : son écosystème.

Sa violence n'abattra cependant pas des murs d'inconscience derrière lesquels sa propre force l'a enfermé ! Avec un surcroit de force brute apporté par sa science, il lui faudra aussi apporter un surcroit de conscience pour rétablir l'équilibre. Une autotranscendance de survie est en effet une exigence de même nature que celle attendue de tout détenu à sa sortie de prison : le monde de la liberté ne lui sera vraiment accessible que s'il a su s'anoblir (s'amender) à l'intérieur pour sa réinsertion dans la vraie vie ! Le prisonnier reconnaîtra ainsi la sagesse d'un gardien auquel il doit la vie : la société pour l'individu, la Transcendance pour l'espèce.


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- Que l'homme s'anoblisse ...ou qu'il meure !

Un objectif commun exaltant : Préparer l'accueil de voyageurs extraterrestres :
Avec la Terre et la vie qu'elle porte, le silence cosmique fait partie d'un patrimoine universel que des êtres avancés responsables ne pourraient vouloir briser. Des chercheurs considèrent déjà que l'impact d'un message cosmique sur une humanité non préparée à le recevoir pourrait lui être encore plus fatal que l'impact de l'homme blanc sur les peuples asservis. Un éveil prématuré d'espèces extraterrestres moins avancées provoqué cette fois par l'homme (NASA/SETI, ...) pourrait parallèlement conduire comme la colonisation terrestre à des ethnocides en cascade dans la Galaxie. Si des voyageurs bienveillants existent, des civilisations extraterrestres encore planétairement enfermées ne devraient jamais recevoir de tels messages irresponsables et empoisonnés de la part d'un homme inconscient resté jusqu'ici prédateur.                                 
L'homme devrait plus raisonnablement parier sur un silence cosmique révélant la bienveillance de voyageurs extraterrestres à son égard plutôt que leur inexistence qu'il ne pourrait jusqu'ici affirmer, mais sur laquelle il parie quand même en se surarmant et en ridiculisant l'hypothèse de visiteurs furtifs (ovnis). Ce mépris révèle une prétention anthropocentrique allant au-delà d'une légitime suspicion devant nombre de témoignages recueillis.

Oubliant ses propres outils de camouflage souvent conçus sur Terre pour la prédation des plus faibles (armes d'observation, de chasse et de guerre, radars, satellites, drones et avions furtifs, etc.), un homme prédateur n'envisage même pas que des voyageurs beaucoup plus avancés scientifiquement puissent en utiliser de semblables moyens infiniment plus sophistiqués, et à des fins plus nobles !



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Le pari insensé de l'homme actuel : dans un univers manifestement bien ordonné, une vie peut-être unique livrée au premier prédateur venu : lui-même ! Une humanité épuisée s'interrogera sans doute toujours : "Un ordre universel déjà programmé peut-il exister" ? La transcendance est en tous cas une source de bienveillance au moins potentielle, alimentée par ceux qui lui apportent leur allégeance par un comportement collectivement responsable : une humanité reconvertissant demain ses armes en outils, des nomades interstellaires déjà selon toute vraisemblance.                        

L'espèce doit gagner son droit à la vie ! Planétairement enfermée, le Bien est pour elle une stratégie crédible pour gagner, et le Mal une dégradation entropique vers un échec et Mat ... à mort. Son potentiel d'autodestruction est-il surveillé ? Des observateurs malveillants ne seraient pas aussi délicats devant ses provocations, mais des bienveillants le seraient : des ovnis jusqu'ici pacifiques et...furtifs. Un seul pari optimiste : celui de leur bienveillance et d'une démonstration de la nôtre au préalable pour nous avoir ainsi alertés sur les dangers du courant cosmique, comme Diogène avec sa lanterne à Athènes.


Pourquoi alors ne viendraient-ils pas s'expliquer franchement ? Parce que sans des valeurs communes à partager en paix, l'ethnocide planétaire qui s'ensuivrait serait encore plus fatal qu'une colonisation terrestre de sinistre mémoire : une espèce sans charme cosmique sera ainsi bienveillamment ignorée et même furtivement assistée dans sa décadence pour lui faire prendre conscience tant qu'elle ira contre le courant ! Le "silence éternel des espaces infinis" apporte donc deux bonnes nouvelles : pas de malveillance cosmique et bienveillance potentielle. Mirage ou réalité ?



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La survie, c'est l'adaptation de l'homme à son milieu, pas le contraire ! Une dégradation incontestable de l'environnement terrestre est en cours : pollution généralisée, épuisement des ressources, biodiversité appauvrie, surpopulation et surexploitation de l'écosystème... Mais les hommes se querellent sans fin sur des mots dans des débats futiles, comme en d'autres circonstances jadis sur le sexe des anges.                

Alors que le sort d'une espèce planétairement enfermée est en jeu, il est en effet futile de se quereller sur l'origine naturelle ou non de dangers déjà bien visibles. Chaque fuite de fuite de pétrole en mer (ex. ici dans le Golfe du Mexique) vient trop souvent nous rappeler la fragilité de notre écosystème.

Le réchauffement climatique est-il dû à l'homme ? Les experts du GIEC disent oui face à d'autres comme Claude Allègre moins affirmatifs sur sa nature et sur son existence. Mais la science n'organise jamais des élections. C'est la poursuite d'un vieux débat philosophique entre l'inné et l'acquis, ici entre le naturel et l'artificiel, et plus globalement entre Dieu et le hasard : des concepts qui ne s'excluent d'ailleurs jamais mutuellement. Il faudrait plutôt faire face à toutes les menaces qui pèsent sur la vie d'une espèce qui doit assumer sa responsabilité au lieu de la reporter sur une nature qui ne pourrait en assurer seule la charge.





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Seule une absence de traces de malveillance cosmique a vraiment été constatée par Fermi dans notre écosystème et dans la Galaxie. Des traces de bienveillance d'une vie naturelle ou non sont quant à elles bien visibles, en tous cas sur notre planète.                         





- Des voyageurs interstellaires sont donc encore inexistants.

- Ou ils sont alors bienveillants et furtifs, ne laissant pas de traces observables par des espèces moins avancées telles que la nôtre : des malveillants tels que les pollueurs terrestres ne seraient pas délicats au point de prendre soin d'effacer si bien leurs traces ! L'humanité devrait alors apprendre à en faire sagement autant si elle veut un jour pouvoir s'évader de son étoile et survivre. Aucun visiteur ne s'est jamais présenté ? Croire que des voyageurs interstellaires ne pourraient échapper à notre observation relève de la foi et non de la science.
Le silence cosmique ne laisse en effet que ces deux hypothèses également vraisemblables, mais un homme resté prédateur a déjà parié sur la première avant toute réflexion, à savoir, l'absence d'une sagesse extraterrestre plus grande que la sienne.




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Une conscience marginalisée face à une science atteinte d'obésité conduit l'humanité à son autodestruction. "Science sans conscience n'est que ruine de l'homme", préciserait Rabelais aujourd'hui. Le savoir n'est que l'outil, pas la main économiquement asservie du marché : un outil croissant exponentiellement en puissance échappé des mains d'un homme dépassé par la technique pour tomber dans celles d'un singe savant, l'homme d'affaires - Un modèle occidental de civilisation impérialiste devenu planétaire, porteur d'une volonté mafieuse de prédation enracinée aux points les plus stratégiques : les états, les institutions, l'environnement, l'eau, l'air, l'espace... 
         
Rapport science/conscience
1 : an 1500 et 2 : an 2000
Le sort des eunuques de harems fait frémir, mais celui de milliards d'eunuques de marché victimes d'une castration économique bien plus dangereuse est jusqu'ici banalisé. Le choix irrationnel de l'espèce en faveur d'une oligarchie d'enfants gâtés génère un cancer fatal à toute vie terrestre, et une culpabilisation des seuls privilégiés n'a jusqu'ici conduit qu'à des affrontements de plus en plus destructeurs.

Dans la coupe cosmique pour une vie durable, le jeu individuel doit définitivement céder la place au jeu collectif : il apparait désormais que c'est à l'humanité toute entière qu'il appartient transcendantalement de gagner ! L'entraînement de l'équipe terrestre sur son seul terrain ne pourra toujours durer. Le temps est venu de se responsabiliser face à une menace collective d'élimination.


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- Survie de l'homme et silence cosmique :


Face à des drames tels que celui vécu en Haïti, l'homme rêve d'une miraculeuse assurance tous risques. Et en son absence, il se retourne contre toute force qui le dépasse : celle "d'une transcendance" qui est alors, selon ses convictions, la nature, Dieu, le sort, la Providence. Ou des extraterrestres...

Rendre l'humanité plus séduisante : Avec une avance de milliers d'années au moins sur nous, des visiteurs venant seulement des plus proches étoiles représenteraient en effet déjà une forme de transcendance pour l'homme. Leur silence serait donc bien voulu, et un homme qui se rend déjà invisible pour ses propres semblables moins bien armés (radar, avion furtif, satellite...) ne peut prétendre pouvoir découvrir des êtres aussi avancés malgré eux. C'est pourtant ce que proposent de faire de vrais chercheurs (cf. Jean-Pierre Petit, CNES/GEIPAN, NASA/SETI, etc.).                   

Leur voyageur ET est un chat-fantôme prédateur jouant avec une souris-homme elle aussi prédatrice et donc battue d'avance. Si cette attitude irrationnelle est bien conforme à celle de l'homme, il est invraisemblable qu'un voyageur extraterrestre soit à la fois prédateur et respectueux du silence cosmique. Le chat de Schrödinger peut être à la fois mort ET vivant, mais compte tenu du silence cosmique, un voyageur en visite EST à la fois  bienveillant et furtif, OU alors inexistant. En allant à sa recherche, l'humanité ne peut donc l'attirer qu'en devenant elle-même séduisante.




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- Le malentendu cosmique de Fermi :       

Le Paradoxe ou pari fou de Fermi : un simple malentendu ? Notre seule galaxie compte entre 100 et 400 milliards d'étoiles, et avec une moyenne de 4 planètes par étoile (8 pour le Soleil), la seule Voie Lactée aurait ~800 milliards de planètes. A raison d'une planète habitable sur 10.000 ou plus, notre galaxie à elle seule compterait encore des millions de foyers où la vie aurait pu naître. Il y a probablement plus de 100 milliards de galaxies dans l'univers.             

Devant ces chiffres astronomiques, le savant et prix nobel de physique italien Enrico Fermi s'était étonné de l'absence de traces extraterrestres sur notre planète et dans le système solaire. Il apparaît en effet peu vraisemblable que la vie n'ait pu naître que sur notre planète, dans une galaxie qui contient déjà des étoiles plus âgées que le Soleil de milliards d'années. Des civilisations plus avancées de nomades interstellaires l'auraient "colonisée" en quelques dizaines de millions d'années, pensait Fermi, un temps insignifiant vu l'âge de l'univers (~13,6 milliards d'années). Pourtant, on ne rencontre pas d'extraterrestres sur Terre. Mais où sont-ils donc ?

Tel est le "Paradoxe", ou plutôt le Malentendu Cosmique de Fermi. Ce constat d'un Silence Cosmique bien réel n'a en effet rien de paradoxal, comme il n'est pas paradoxal que le citoyen ordinaire ne cotoie pas l'oligarque : ils ne fréquentent pas le même milieu, n'ont pas les mêmes sujets d'intérêt... Pourtant, l'oligarque existe ! Le silence cosmique n'autorise que 2 hypothèses : des visiteurs capables de voyages n'existent pas, ou ils ne tiennent pas à nous cotoyer, tout comme les oligarques pour le plus grand nombre. La discrétion est toujours une attitude de réserve face à des valeurs différentes chez l'autre. Si la discrétion de l'oligarchie est cohérente avec des valeurs basées sur la force, celle de voyageurs invincibles le seraient sur d'autres valeurs

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- Espace vital et Transcendance Artificielle :

Une évasion cosmique de l'humanité doit être préparée : Les hommes pullulent et s'empoisonnent mutuellement la vie dans un écosystème étroit qui s'épuise. L'espèce aurait déjà besoin de plusieurs planètes pour survivre. Mais elle est planétairement enfermée et condamnée à manquer bientôt d'espace vital. Elle ne pourrait miser sur "cet oeuf planétaire" sans se préparer à temps à une expansion dans l'espace interplanétaire dans une première étape, et l'espace interstellaire par la suite. Si une évasion dans la hâte pourrait alors tourner à l'autodestruction, elle pourrait aussi, si elle intervenait à temps, lui offrir une chance unique d'insertion cosmique.                  
Mais une humanité jusqu'ici infréquentable devrait dans ce cas s'attendre à devoir partager le Cosmos avec des civilisations de nomades interstellaires plus avancées. L'espèce doit donc devenir séduisante pour être accueillie par un monde extraterrestre qui lui aurait alors déjà prouvé depuis longtemps sa bienveillance en ne la perturbant pas dans son évolution.
L'évasion de milliards d'hommes biologiques n'est pas envisageable. Mais une métamorphose artificielle de l'homme est sans doute réalisable à terme, à partir de connaissances déjà acquises en médecine, en neurosciences, en robotique... "L'étalonnage naturel des sens" est un modèle à reprendre pour des sens artificiels à développer. Tous les organes seraient à cette fin remplacés par des composants artificiels (comme c'est déjà parfois le cas), au fur et à mesure ou en prévision de leur défaillance naturelle. Ceci reviendrait à greffer l'organe sur un corps de plus en plus robotisé, avant de rendre le cerveau lui-même artificiel. L'homme deviendrait alors transcendant, comme sans doute tous les voyageurs interstellaires déjà.    Suite



L'homme parie jusqu'ici sur le triomphe universel de la force en excluant le surnaturel, mais aussi toute première génération de voyageurs interstellaires préservant la vie en apartheid cosmique derrière un Mur de Silence infranchissable. Pour fonder toute génération suivante, des nouveaux venus au voyage exigeraient alors de lui avant tout contact un pari cosmique déjà fait par eux-mêmes : une allégeance démontrée envers toute ascendance éventuelle par son respect envers toute vie locale.             

Une humanité piégée ?
Aurions-nous déjà été visités par des extraterrestres ? Les media placent souvent l’étoile la plus proche près de Saturne alors qu’elle est des dizaines de milliers de fois plus éloignée. Un automate actuel n'y parviendrait qu'au bout de dizaines de milliers d’années et un vaisseau habité classique n'est même pas encore envisageable. Mais la science et la technologie n'ont certainement pas dit leur dernier mot.


Nos surplus annuels de population ne pourront jamais aller coloniser d'autres planètes avec des hommes faits de chair et de sang, et face à un enfermement planétaire qui semble la condamner d'avance, l'espèce ne survivra que par une expansion dans le Cosmos sous une autre forme d'existence, comme nous le rappelle aussi Stephen Hawking. La Terre est donc un œuf planétaire en voie de pourrissement et la sortie de l'humanité doit alors être préparée avant qu'il ne soit trop tard. Tout œuf peut en effet finir ainsi, mais un poussin peut aussi sortir d'un oeuf bien couvé. Un être nouveau ne pourrait-il également naître de même d'une coquille terrestre épuisée ?






 (E. Morin : "Tout ce qui ne se régénère pas dégénère"). L’espèce est enfermée sur une planète qui s'épuise et qu'elle doit se préparer à quitter après une transcendance inéluctable. Mais elle ne pourrait s'en aller dans l'espace interstellaire sans se préparer à semer la vie. Elle devra se reproduire en hominisant une nouvelle espèce intelligente à partir de primates terrestres. Comme elle en a aujourd'hui les moyens, y renoncer serait de sa part irresponsable dans les deux cas envisageables :


- Si elle a été hominisée par des êtres plus avancés, elle doit à son tour transmettre l’intelligence qu'elle a reçue.
- Si elle est seule ou si elle est la plus avancée, cette hominisation contrôlée s'impose encore davantage : elle doit en effet protéger cette intelligence déjà acquise.

Une Procréation Cosmique



Son enfermement dans une coquille d’œuf planétaire devrait amener l'homme à s'interroger. S’il est le nombril de l’univers comme il le prétend, cette place de leader doit être occupée avant qu’elle ne lui échappe. Mais le seul fait d’être devenu scientifiquement et technologiquement capable de préparer un œuf planétaire semblable à celui qui le contient conforte l’hypothèse d’une cosmoprocréation de l'humanité tout entière. Si l'homme a des parents ou des tuteurs cosmiques qui l'observent en silence, ceux-ci s'attendent alors à ce qu'il perpétue à son tour l'intelligence, que l’univers soit né du hasard ou non.                      







L’apartheid cosmique est l’hypothèse d'une évolution discrètement contrôlée des espèces moins avancées par des civilisations de voyageurs interstellaires invisibles et silencieuses. Le Silence Cosmique lui-même rend leur existence plus que probable.

   Les bourgeois de Calais
Les oligarques se cachent en effet déjà avec leurs privilèges dans des ghettos dorés, des cellules d'apartheid bien gardées. Ils ne cotoient pas les pauvres pour maintenir une paix malgré tout conflictuelle. Cet apartheid des plus forts injustifiable entre des semblables est plus répandu qu'on ne le dit. Sous des masques de démocraties, notre civilisation s'est construite suivant ce modèle, avec des cellules d'apartheid de plus en plus peuplées et dégradées en aval. Mais si les plus puissants se protègent ainsi face aux plus démunis, pourquoi des extraterrestres plus avancés ne le feraient-ils pas face à nous ? Ils devraient se montrer encore plus discrets dans un apartheid extraterrestre bienveillant et légitime exercé par des êtres qui ne seraient pas nos semblables.      


On exclue l'existence de voyageurs en avançant le Paradoxe de Fermi, ou encore l'absence d'une ambassade cosmique à Washington ! C'est oublier que celle-ci serait assaillie d'emblée par des foules de pauvres, bien plus que celles de l'Ouest derrière l'ex Rideau de Fer. Les faveurs attendues conduiraient à des affrontements, si bien que c'est la visite de voyageurs bienveillants qui serait un paradoxe, leur absence n'excluant que les malveillants.




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- Apartheid cosmique et pacifisme :

Un homme voyageur interstellaire entrerait dans "un espace transcendantalement administré" par des nomades arrivés des millions ou des milliards d'années avant lui. Ceux-là resteraient invisibles pour laisser place à des éclaireurs arrivés juste un peu en avance pour l'accueillir.

Un désarmement total de l'humanité s'impose avant tout contact : Par simple précaution, l'existence d'une transcendance devrait en effet dès le départ être intégrée par l'homme dans son projet d'évasion. Si de grands navigateurs terrestres (Magellan, Colomb...) sont sortis les premiers de leur monde civilisé pour aller à la rencontre d'un monde barbare auquel ils allaient imposer durement leur loi, ce serait cette fois le contraire : les premiers évadés terrestres sortiraient d'un monde sauvage pour rejoindre un monde cosmique plus avancé et exigeant.



Un homme qui ferait ses premiers pas de nomade ne pourrait vouloir s'imposer dans cet autre monde face à des aînés extraterrestres plus avancés. Il devrait au contraire se montrer prêt à adopter leur loi en s'étant désarmé bien avant son départ, en signe d'allégeance cosmique.



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-Non-assistance à vie en danger :






Les racines de la conscience : Partant de l’hypothèse suivant laquelle la vie dans l’univers serait née du hasard, toute forme de vie existante serait apparue au terme d’une gestation qui aurait progressivement développé un instinct naturel de survie dans chaque espèce. Sans cet instinct, sa vie serait en effet condamnée à brève échéance. Les espèces qui n’auraient pu évoluer avec leur milieu auraient d’ailleurs disparu ou seraient en voie de disparition.

Un instinct de survie universel : L’instinct de survie est donc la première racine de conscience (ou d’intelligence), sur cette planète comme partout ailleurs dans cet univers. Le passage de l’instinct brut à l’amorce d’une conscience serait également dû au hasard. A ce titre, toutes les espèces, végétales, animales ou autres, sont potentiellement intelligentes, même si les espèces animales paraissent les meilleures candidates, en raison notamment d’une mobilité qui facilite les échanges et la socialisation.

D’une matrice à l’autre : Chez l’homme, le foetus quitte sa matrice individuelle (utérus) pour devenir autonome dans le monde qui l’attend. Mais ce monde-là n’est probablement aussi « qu’une matrice planétaire collective » dans laquelle l’espèce poursuivra une autre gestation vers une forme d'intelligence plus avancée, une matrice qu’elle devra sans doute se préparer à quitter en tant qu'entité autonome pour évoluer dans un autre monde.
          


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- Un capitalisme de prédation planétaire :

A la grande table du capitalisme, les plus grands prédateurs se servent d'abord, ne laissant aux plus faibles que des miettes, s'il en reste. Un capitalisme devenu planétaire réserve une part croissante des ressources et de l'espace vital à une minorité de privilégiés. Installés comme des princes et seigneurs dans des cellules dorées d'un apartheid de suprême abondance, ces derniers laissent à la dérive une immense majorité d'hommes "économiquement castrés". Une propagande assourdissante incite sans cesse les déshérités à se laisser enfermer, tels des eunuques, dans le harem d'un marché conçu pour les asservir. 



Le capitalisme monothéiste est de loin la première religion planétaire, avec ses autels et ses cathédrales (bourses, casinos, palaces...), ses icônes sacrées (voitures et résidences de luxe, yachts, avions, bijoux et gadgets de consommation...), ses synodes et conciles (G7, G8, G20, Davos...), son paradis et ses grâces (le Gros Lot, le Védettariat...), son purgatoire et pénitences (faim, chômage, délocalisations...), son enfer (génocides, guerres, croisades d'Irak, d'Afghanistan, du Vietnam...). Des foules de fidèles assistent chaque jour à ses messes (Bourse, loto, loteries...) pour recevoir l'hostie de l'argent (le culte du Veau d'Or) . Si les croyants de l'église peuvent douter de la réalité de la force contenue dans l'hostie, rares sont ceux qui doutent de celle mise dans l'hostie de l'argent en venant souvent vainement l'implorer, agenouillés devant de grands prêtres privilégiés qui préfèrent se la réserver. S'il a un temps représenté un progrès ou un répit, le capitalisme est devenu un système dépassé, une religion intégriste qui leurre les déshérités dans la promesse d'un paradis terrestre : le rattrapage d'un Occident impérialiste et malveillant, une "Ruée vers l'Ouest" perdue d'avance !
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- Une décentralisation cosmique de survie :

La religion s'obstinait naguère à vouloir garder la Terre au centre de l'univers, avant de finalement céder devant l'évidence scientifique. Mais le culte de l'individualisme d'un capitalisme monothéiste voudrait que l'homme reste le nombril du monde, donc bien au centre d'un univers de conscience.

Il en résulte que les autres espèces intelligentes, si elles existent, ne peuvent qu'être moins avancées. Même s'il ne s'agit plus du même centre, sa première erreur devrait pourtant amener l'homme à s'interroger davantage sur cette foi sur laquelle il a construit sa civilisation : resterait-il au centre sur une planète elle-même scientifiquement décentralisée ? Si la foi peut être un choix personnel, elle ne pourrait être la base d'un choix collectif aussi décisif. L'homme doit de nouveau bien peser toutes les conséquences d'un choix cosmique qui ne peut plus être reculé, à savoir : 

- soit l'existence de voyageurs bienveillants,


- soit l'absence de tels voyageurs.

Il ne reste en effet que ces deux hypothèses sur l'évolution de la vie avancée dans l'univers une fois corrigé le malentendu de Fermi sur l'interprétation du Silence Cosmique. Beaucoup d'hommes accueilleraient pacifiquement des voyageurs interstellaires. Mais c'est là un choix théorique et éventuel de citoyens isolés, et non le vrai choix d'un pays et encore moins de l'espèce. Comme en amour, les sentiments ou les opinions ne révèlent un vrai choix que s'ils sont confirmés par des actes concrets.               

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- Pour une initiative de protection cosmique :



L'Armement planétaire : des ADM contre la vie ! L'espèce consacre annuellement en moyenne ~173 $ par habitant pour son armement : les Etats-Unis et Israël 8 à 10 fois plus, la France environ 5 fois plus, la Russie moins de 2 fois plus et la Chine environ 3 fois moins... Ses ressources naturelles et son espérance de vie cosmique en sont réduites en conséquence. Soit pour l'armement planétaire l'équivalent du PIB total de l'Inde : une armée planétaire d'environ 1 milliard d'hommes employés au service de la prédation et de la destruction de l'écosystème ! 1 habitant sur 7 sur la planète se consacre donc déjà totalement à la production d'Armes de Destruction Massive, à une malveillance envers l'espèce. Une production d'armes encore bien plus scientifiquement modernisée que dans tous les autres domaines de la production (alimentation, santé, protection de la vie...).         

Comment l'espèce pourrait-elle survivre encore longtemps en poursuivant ainsi, transformée en troupeau entre les mains de superprédateurs d'un Far-West planétaire qui rêvent de le rendre interstellaire ? Des observateurs extraterrestres objectifs ne pourraient nous voir autrement que comme de grands prédateurs, potentiellement dangereux pour eux aussi. Même si leur avance est considérable, ils ne pourraient trop longtemps laisser ce cancer se propager. D'autant plus que l'armement de l'espèce devient de plus en plus spatial : une militarisation de l'espace venant des pays les plus avancés, et donc injustifiée puisque aucune menace sérieuse, terrestre ni cosmique, ne peut leur venir du ciel. Leur défense étant manifestement démesurée par rapport à une menace surtout de façade, c'est donc bien la marque d'une volonté de prédation toujours plus accentuée des plus faibles, par une recherche de la perfection dans la malveillance !


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La querelle science/religion (darwinisme/dessein intelligent) reprend un vieux débat philosophique inné/acquis, avec l’univers à la place de l’homme. Science et religion pourraient pourtant se retrouver sur un socle commun.
L’œuf et l’oiseau.  
Partons déjà d’un constat : la science et la religion ne pourront jamais nous dire lequel a été le premier de l’œuf ou de l’oiseau. Tout en assemblant laborieusement son puzzle à partir de pièces nées d’un œuf d’univers (Bigbang) dont elle ne peut connaître la provenance, la science pourra toujours mieux expliquer l'évolution de notre monde après sa naissance. La religion voudra en faire autant à partir d’un oiseau apparu tout aussi mystérieusement : Dieu ou une Transcendance quelconque. L’œuf et l’oiseau auraient pourtant leur place dans un concept commun d’infini qui s’impose à tous après la découverte du Bigbang, d'un infini potentiellement porteur de vie.

La Loi du Puzzle Cosmique
Mais comment la science pourrait-elle découvrir un oiseau aussi subtil à se dissimuler sinon en suivant jusqu’au bout une logique de puzzle cosmique où seule la pièce manquante trouve sa place ? Pour s’approcher toujours plus de la réalité, il lui faudrait définir une loi de complétude qui entrerait tout à fait dans sa logique. Car si la métaphore bien connue de la montre trouvée n’exclut pas les lois du hasard, que déduire de la découverte de cet œuf sinon qu’un oiseau est passé par là ? Lorsque la partie du puzzle déjà réalisée suggère fortement des figures ou des arborescences en cours de développement, pourquoi ne pas s’en inspirer dans la construction de l’avenir ? Ne pouvant rationnellement se prononcer sur la nature de cet oiseau comme le fait la religion, la science pourrait par la loi du puzzle en déduire tout aussi bien son existence. Une loi qui resterait contestable comme toutes les autres.
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